Dans le domaine de la restauration après sinistre, le standard qui définit ce qu'il faut faire est le standard S500 de l'IICRC. Celui-ci énumère les différentes actions à poser et à ne pas poser selon le cas. Par exemple, si l'eau est considérée comme n'étant pas contaminée et qu'il n'y a pas d'autres sources de contamination, on peut procéder à l'assèchement des matériaux.
On y classe l'eau en 3 catégories, selon la quantité de contaminants présents.
Voici donc une partie du jargon de la restauration après sinistre...
On y classe l'eau en 3 catégories, selon la quantité de contaminants présents.
Voici donc une partie du jargon de la restauration après sinistre...
Catégorie 1
L'eau de catégorie 1 est réputée ne pas être contaminée et il serait parfaitement sécuritaire d'en boire sans craindre de tomber malade.
Exemple: un tuyau d'eau potable qui se brise.
Catégorie 2
L'eau de catégorie 2 contient une certaine contamination. Si on devait en boire, on pourrait en ressentir certains effets.
Exemple: Le lave-vaisselle fuit et l'eau savonneuse s'en échappe.
Catégorie 3
L'eau de catégorie 3 contient est de l'eau clairement contaminée. Si on devait en boire, on en ressentirait les effets et on pourrait en mourir.
Exemple: L'eau provenant des égoûts.
L'eau de catégorie 1 est réputée ne pas être contaminée et il serait parfaitement sécuritaire d'en boire sans craindre de tomber malade.
Exemple: un tuyau d'eau potable qui se brise.
Catégorie 2
L'eau de catégorie 2 contient une certaine contamination. Si on devait en boire, on pourrait en ressentir certains effets.
Exemple: Le lave-vaisselle fuit et l'eau savonneuse s'en échappe.
Catégorie 3
L'eau de catégorie 3 contient est de l'eau clairement contaminée. Si on devait en boire, on en ressentirait les effets et on pourrait en mourir.
Exemple: L'eau provenant des égoûts.